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Mr DARCOS hier : le 5ème risque ne sera pas le 5ème trou !
Le XXème siècle fut le temps de la solidarité, le XXIéme sera le temps du chacun pour soi. Mr le Ministre DARCOS au grand jury RTL/LCI/Figaro, le 31 janvier interrogé sur le 5ème risque répond « le 5eme risque ne sera pas le 5ème trou ! » traduction : il n’y aura pas de 5ème branche de la sécurité sociale ; la dépendance sera financée par des assurances privées, finie la solidarité pour les plus vulnérables.
Nous aurons cotisé pendant toute une vie de labeur, très fortes sommes ( cf vos fiches de payes, les prélèvements salariés et employeurs) à la caisse de la solidarité en santé, dite sécurité sociale, et plus longtemps à l'avenir, dit le ministre, mais lorsque nous aurons besoin de soins liés à la perte d’autonomie la caisse ne payera pas! Les complémentaires sont bien prêtes à se substituer au principe de solidarité. Remettre au pot, oui mais comment ? Combien de temps de cotisation, qui pourra se payer une complémentaire dépendance ?
Et en attendant qui prend en charge ? Les familles le savent bien, celles qui sont déjà confrontées à la dépendance de leurs ainés et qui, depuis la loi de régionalisation 1982 séparant le secteur social de celui de la santé, ont à leur charge le financement de plus de 50 % des soins des personnes dépendantes hospitalisées, ce qui varie de 2000 à 4000 euros par mois selon le type d’établissement et le secteur public ou privé.
Est-ce là le progrès social des temps modernes ? Mais quelles solutions et qui pourrait financer le poids de la dépendance face à des prévisions de longévité de plus en plus longue ?
D'abord mieux faire sur leplan santé publique pour venir vieux mais autonome. La lutte contre les maladies qui génèrent la dépendance peut s'améliorer (lutte contre les maladies cardiovasculaires, l'alcoolisme, obésité...)
Le LIEN a déjà proposé de financer la dépendance par une taxe sur gains de jeux, tous les jeux, tous les terrains de jeux, sans oublier Internet et les paris liés au sport comme le foot, les courses, le terrain est vaste.
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A l'origine, la Sécurité Sociale a été créée pour les travailleurs sur la base des cotisations récupérées sur les salaires. A ce titre, seuls les travailleurs devraient en bénéficier. Si ces consignes n'avaient pas dérivé, le déficit n'existerait certainement pas. Les non-travailleurs bénéficiaient de l'aide médicale gérée par les Départements (budget complètement à part).