voila deux ans que je vi avec ce pt copin pas tres gentil avec mois car jai deja changer deux fois de prothese du genous et maitenant jai un decelement du au staph merci jai pris un avoca en 2009 et a ce jour pas grand chose a par que je dois passee devant deux experts et apres le vie nous le dirs car pas de moyens financiers donc je pense que tout s arreters la et je dire merci a la clinique de m avoir donnner ce joli cadeau empoissoner pour la vie

bonjour moi aussi je suis scandalise mon frere a eu un accident de scooter il se fait operer a lhopital pour une fracture ouverte a la jambe il retourne pour ses soins mais sa jambe ne cicatrisait pas ils lui annonce qu'il a ce virus et que ces pour la vie!!!!!!!!a part ca pas de suivi ces notre medecin de famille qui nous soutient dans cette maladie et qui aide mon frere a se soigner,mes parents ne connaissent pas grand chose mais personne ne les a diriger pour une indemnisation il lui ont juste dit que c'etait des chose qui arrive et qu'il ne peuvent rien faire ces un virus qui arrive comme ca sans qu'ont puisse y faire quelque chose je trouve ca horrible a quand le changement?

alors que voulez vous que je fasse ? à la suite d'une prothèse du genou, j'ai fait une infection soignée à la "va comme je te pousse", résultat, après une incision à vif sur un drap, après un lavage rapide au bloc, l'abcès est toujours revenu, en milieu hospitalier on m'a pris en charge (j'ai été opéré en clinique) à la demande de mon médecin traitant qui a vu que je perdait la jambe si on laissait aller, je suis allée voir un chirurgien qui s'est occupé de moi avec le service infectieux, résultat, on a ouvert tout au long de la prothèse et nettoyé avec 3 litres de biafine et 6litres de sérum phy. J'ai gardé la prothèse en place, au bout de 6 mois d'antibiothérapie par voie veineuse (en chambre implantable) l'abcès est revenu....Il a fallu par conséquent, enlever la prothèse, mettre un spacer et nettoyer encore tout avec de la bétadine et du sérum phy.Une autre antibiothhérapie a été mise en place, pendant 6 mois, et cette fois, l'abcès enfin n'est pas revenu. Je ne vous parle pas des douleurs inimaginables, de plus d'un an passé en fauteuil complètement dépendante, de réveils au salle de réveil en hurlant...à quoi bon, je n'ai pas d'argent pour engager un avocat alors, comme tous les petits je me tais.Le professeur du service infectieux préfère que je garde la chambre implantable en cas de récidive, rien n'est joué le staphy. peut revenir.En France, maintenant il y a les dédommagements pour les riches et les pauvres n'ont qu'à dire "merci d'avoir été soigné" je suis infirmière en invalidité.Mais une mamaie heureuse malgré tout, n'oubliez pas, le bonheur riche ou pauvre, vous devez l'avoir en vous même si vous passez par des périodes inimaginables.Ce bonheur là personne ne peut vous l'enlever.

En effet cher “collègue” L’expertise avez évalué mon désagrément 3,5/7, mais l’avocat (?!) de l’Institut Jacques CARTIER, un charlatan pas digne du titre d’Avocat, à fait en sorte que la CRCI retourne sa veste en concluant NEGATIVEMENT donc la conclusion = aucune indemnisations, mais j’ai 10 ans pour me retourner !!! Salutations à vous.

Bonjour,
Je ne peux pas m'empêcher de répondre à ce commentaire et presque" rassurer"
Franco NAPOLEONI en lui assurant que même avec une expertise bien faite, malgré un manque d'élément flagrant dans le dossier médical, par deux experts de la CRCI qui ont conclu sans aucun doute à deux maladies nosocomiales ( me concernant), la demande est tout de même rejetée ! (Sans recours possible).
C'est un peu plus long et plus couteux lorsqu'on va jusqu'au bout mais le résultat est le même…
Sans argent (pas 'avocat possible), dans la détresse, handicapé, plus la fatigue et tous les déboires qu'amène un accident, la CRCI trouve un moyen de ne pas faire augmenter les chiffres de malades atteint par une maladie nosocomiale en France. (Nous sommes dalleurs très bien placé en France par rapport aux autres pays !!! Dans ces conditions c'est facile)
Lorsqu'on s'adresse à la CRCI elle nous laisse croire que nous avons un allié et une commission là pour nous défendre et c'est ce qu'il ne faut surtout pas croire !
QUETIONS :
1) A quand le jour ou les malades, dont le dossier est enfin accepté par la CRCI, seront secondés par un juriste gratuitement ?
2) Lorsqu'un méchant germe est découvert en milieu hospitalier, est-ce que c'est au patient de prouver qu'il n'avait le germe avant ou à l'hôpital de prouver qu'ils ne l'ont pas donné malencontreusement ? Nous sommes tous porteurs de germes naturellement !!!
3) A quant le jour ou un hôpital qui découvre sur un patient après opération un germe sera obligé de faire tout ce qu'il peut pour l'irradier ???
La troisième question est grave car l'hôpital, dans lequel le staph doré est arrivé après plusieurs opérations, m'a totalement abandonné sans même m'indiquer ou me faire soigner !!! Je peux prouver cela, le chirurgien qui me suivait a été remplacé et son remplaçant a exclu tout geste chirurgical sur un pied infecté ! J'ai par écrit les conclusions de ce médecin avec sa signature et l'entête de l'hôpital. C'et aspect là ne choque personne alors que je trouve que c'est pire que les troubles avec la CRCI ! Un germe est découvert dans un hôpital, on doit au moins vous aider à le soigner, qu'il vienne de l'hôpital ou que vous l'ayez fabriqué vous-même, non ? Le médecin qui récuse tout geste chirurgical sur votre plaie infectée devrait au moins être obligé de vous envoyer quelque part, non ? Je peux vous dire que j'en ai fait des hôpitaux après les conclusions de ce monsieur et si je m'en sors un jour ce ne sera pas grâce à cet inconscient qui se fait appeler médecin !

Objet du rejet : ( il faut le vivre pour le croire)
1) Le staphylocoque doré détecté dans le pied de Mr Lemaitre au 30em jour d'hospitalisation est peut être rentré par "une porte ouverte" lors de son accident. ""Le germe est très malin, il se glisse dans le coude et n'infecte surtout pas le coude, il attend sagement un mois et se précipite sur le pied qui vient d'être opéré !"" Je dis donc plus que Franco NAPOLEONI, la CRCI ne tient pas compte de ses propres experts !
Mon coude droit était en effet ouvert m a-t-on dit sous mon blouson après une chute d'un toit mais il n'existe pas un médecin qui puisse imaginer un germe (staph doré) rentré par une plaie sur le coude (qui va être opéré tout de suite) et apparaitre sur le pied 30 jours plus tard juste après un bloc !

2) Le patient, Mr Lemaitre était très fatigué lors de son hospitalisation, on peut tout imaginer….
Si vous connaissez quelqu'un qui va à l'hôpital en tant que patient en pleine forme, c'est qu'il n'a pas besoin de l'hôpital

3) La maladie nosocomiale de Mr Lemaitre dans les bronches a été soignée donc elle n'est pas sujet a indemnisation.
La maladie nosocomiale de Mr Lemaitre dans son pied est bien triste mais les deux raisons ci-dessus expliquent le rejet sans recours possible !
Un hôpital qui dit, débrouillez vous avec votre infection, la CRCI qui dit la même chose alors que ses experts décèlent incontestablement deux maladies nosocomiales, le patient est vraiment dans la m……………… C'est du vécu et c'est écrit mais je ne peux rien faire ! Je viens de fêter les 4 ans de mon infection et je ne sais pas ou je vais….

Bonjour, En Effet je suis une des victimes...et la victime est traité comme un chien !!!, pas la moindre
Considération « débrouille-toi ». J’attends des explications et de propositions suite à une soi-disant expertise !!
Salutations Franco NAPOLEONI E-mail : [email protected]