Les notes récentes
- les golfeurs au bon coeur
- Attaques contre l’Aide Médicale d’Etat : opposition des associations
- Journée Représentants d'associations d'usagers de la santé
- La sécurité des patients ne saurait procéder d'une simple politique électoraliste.
- Le CISS dépose un recours devant le Conseil d’Etat contre l’arrêté sur les coopérations entre professionnels de santé du 31 décembre 2009
- Sécurité patients – Le LIEN en avance sur le HCSP avec les deux premières éditions des Etats Généraux des infections nosocomiales et de la sécurité du patient. La 3ème édition est programmée pour les 27 et 28 janvier 2011
- Dépistage VIH - le manque de courage politique de la France fait perdre une chance aux personnes atteintes
- «Conflits d'intérêts en droit de la santé : comparaisons, Etats-Unis, France, Japon
- Infections à bactéries multirésistantes aux antibiotiques, le début d'un combat, ensemble
- Les industries agro alimentaires et le triomphe des bactéries
Clinique du sport, délibéré reporté au 17 mars 2010
Chambre correctionnelle. TGI de Paris. Le rendu du délibéré dans l'affaire des infections nosocomiales à En octobre 2009, trois chirurgiens, dont l'ancien directeur de cette clinique parisienne, ont comparu devant le tribunal correctionnel de Paris, pour "blessures involontaires" et "tromperie", poursuivis pour avoir, par négligence et impudence, participé à la propagation d’une mycobactérie « xenopi » dans le réseau d'eau de la clinique en ne respectant pas les règles en vigueur et contaminé 58 patients connus dont 12 se sont constitués partie civile. Les trois médecins ont affirmé avoir appliqué les règles d'hygiène en vigueur à l'époque et fait appliquer ces règles "par tous, partout" durant tout le procès. Néanmoins les victimes sont gravement atteintes. Pourquoi ? c'est ce que les victimes ont essayé de comprendre lors d'un procès de 3 semaines du 6 au 28 octobre à Paris. Dans ses réquisitions, le ministère public a requis plus sévèrement contre Pierre Sagnet, directeur de la clinique à l’époque des faits, trois ans de prison dont deux avec sursis et 30.000 euros d'amende que contre ses deux confrères médecins, contre lesquels il a requis respectivement deux ans de prison avec sursis 20 000 d'amende pour l'un, et huit mois avec sursis pour l'autre.
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