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et la dépendance, qui aura le courage d'ouvrir le dossier ?
Tandis que le principe de solidarité en santé s'effrite de jour en jour et que le reste à charge de chaque assuré social prospère dans l'indifférence et le silence des grandes gueules politiques traditionnelles comme si nous étions tous face à une fatalité, voilà que l'on nous remet le couvert sur le dossier "retraites". Certes, il n'est un secret pour personne que la démographie galope en défaveur des ressources telles que planifiées dans le présent, et qu'il faudra revoir les bases de recettes et redistribution, il n'empêche que dans le même temps le dossier "dépendance" reste à la traîne, hormis de temps à autre la silouette du ci-après dénommé "5ème risque" que l'on agite à l'horizon. Ce n'est pas par hasard certainement que l'on parle de plus en plus de 5ème risque, et non pas de 5ème branche. S'il s'agit de 5ème risque, ce sera la logique de l'assurance volontaire qui l'emportera et, donc une autoroute pour la santé-marché, s'il s'agit de 5ème branche de l'assurance maladie, c'est la solidarité nationale qui sera préservée. Ce sera certainement un peu plus compliqué que cela, mais on est en droit de penser que l'on nous conduit doucement vers l'abandon du principe de solidarité pour le financement des soins et en particulier des soins liés à la dépendance, au profit d' un financement privé. Et l'on nous dira alors que c'est aussi une fatalité , qu'il n'y a rien d'autre à faire, trop tard ! Est-ce la société que nous voulons ?
cf Le monde le 11 janvier dernier :Selon Didier Tabuteau, Pour les soins courants, le taux de remboursement paraît s'établir à 55 %...
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